Célia ONETO BENSAID et sa sœur Olivia DALRIC.
| CENDRILLON ET SA SŒUR d’après le ballet de Prokoviev
| BERNSTEIN West side story
Cendrillon a perdu sa mère. Ses deux sœurs « jolies et blanches de visage, mais laides et noires de cœur » vont faire de son existence un enfer jusqu’au jour où le roi donne une fête à la cour en invitant toutes les jolies filles du pays afin que son fils se choisisse une fiancée…Une invitation au pays magique et fantastique du conte portée par la musique enivrante d’un compositeur de génie.
- Sur une idée originale de Olivia Oneto Dalric et de Célia Oneto Bensaid
- Musique librement adaptée du ballet de Sergueï Prokofiev
- Texte : Jacob et Wilhelm Grimm
Célia Oneto Bensaid Pianiste
« Une pianiste de fière allure »
(Christian Wasselin, Web Théâtre, avril 2016)
« Elle est un orchestre à elle seule ! »
(Bertrand Renard, Culture box, février 2016)
Baignée dans l’art dès son enfance, notamment celui du théâtre et du texte, Célia Oneto Bensaid décide qu’elle racontera les histoires au piano, cet instrument riche permettant tant de répertoires !
C’est donc au CNSM de Paris qu’elle obtient avec autant d’enthousiasme cinq prix : piano (Claire Désert), accompagnement (direction de chant avec Erika Guiomar, accompagnement vocal avec Anne Le Bozec et accompagnement au piano avec Jean-Frédéric Neuburger) et musique de chambre (Claire Désert et Ami Flammer) avec les meilleures distinctions. Célia suit également l’enseignement de Rena Shereshevskaya depuis 2010 puis à l’Ecole Normale Alfred Cortot où elle obtient le diplôme supérieur de concertiste en 2018. Elle se forme également auprès d’Anne Queffelec, Maria-Joao Pires ou encore Jean-Claude Pennetier lors de nombreuses masterclasses.
Lauréate de nombreux concours internationaux en solo et en musique de chambre (Piano Campus, Fondation Cziffra, concours Nadia et Lili Boulanger, concours Bonneton, concours Fauré, concours Poulenc), elle reçoit le prix du public de la Société des Arts de Genève en 2017. Elle se produit régulièrement en concert en solo avec orchestre (orchestre de la Garde Républicaine, orchestre de l’opéra de Toulon etc.), ou en musique de chambre dans des festivals et salles telles que la grande Philharmonie de Paris, Piano aux Jacobins, le festival de la Roque d’Anthéron, la Folle Journée de Nantes, le Grand Théâtre de Harbin (Chine), Festival du Périgord Noir, Piano en Valois, et a été également invitée de différentes émissions de radio (France Musique : Magazine des Festivals, Génération Jeunes Interprètes, Matinale). Elle se produit régulièrement à l’étranger (Etats-Unis, Japon, Russie, Italie, Angleterre, Espagne, Suède, Suisse, Algérie, Chine). En 2017, elle est soutenue par la fondation Safran, et devient lauréate de Pro Musicis et de la Banque Populaire. Elle est également lauréate de la fondation Royaumont et devient en 2018 lauréate HSBC de l’Académie du festival lyrique d’Aix-en-Provence.
Le prix André Boisseaux lui permet d’enregistrer son premier disque solo « American Touches » paru en 2018 consacré aux américains Gershwin et Bernstein, et comprenant ses transcriptions d’œuvres orchestrales sous le label Soupir très bien accueilli par la critique.
Dédicataire et créatrice de plusieurs pièces de la jeune compositrice Camille Pépin, Célia enregistre ses œuvres de musique de chambre dans un disque qui paraît en février 2019 chez NoMadMusic (Choc Classica, FFF Telerama…).
Elle fera ses débuts notamment à la Salle Bourgie de Montréal et au Wigmore Hall de Londres pendant la saison 19/2
Olivia DALRIC.
En 1997 Olivia Dalric entre au Studio Théâtre dirigé par Jean-Louis Martin-Barbaz, elle y intègre la compagnie puis joue sous sa direction la mariée dans La Noce chez les Petits Bourgeois de Brecht. En 1999 elle rencontre Patrick Pelloquet, directeur et metteur en scène du Théâtre Régional des Pays de la Loire, et joue dans La Tempête de Shakespeare et dans La Cagnotte de Labiche. Elle y rencontre aussi Jean-Claude Drouot qui la met en scène dans Cinna de Corneille. Parallèlement elle suit une formation plus corporelle à l’école internationale Jacques Lecoq pendant deux ans. Elle y découvre entre autres le jeu masqué et joue à sa sortie, Azdakdans Le Cercle de Craie Caucasien de Brecht et Falstaff dansLes Joyeuses Commères de Windsor de Shakespeare, aux rencontres internationales de Haute-Corse dirigée par Robin Renucci. D’ autres part elle développe un axe pédagogique en lien avec sa formation mais privilégie son engagement et sa fidélité au sein de compagnies. En 2007 elle joue au Théâtre 13 à Paris dans Le Mandat de N. Erdman mis en scène par Stéphane Douret. En 2009, elle rencontre Omar Porras et le Teatro Malandro et joue Mme Géronte dans Les Fourberies de Scapin de Molière, L’ Eveil du Printemps de Wedekind, La Dame de La Mer d’ Ibsen, et La Visite de la Vieille Dame de Dürrenmatt. En novembre 2014, c’est la première création du Munstrum Théâtre dont elle fait partie, L’ Ascension de Jipé à La Filature de Mulhouse. En 2016 elle créé Me Taire de Sylvain Levey mis en scène par Olivier Letellier, au Théâtre National de Chaillot, et part en tournée avec, pendant deux ans. Parallèlement elle travaille la même année à la construction de Cendrillon… avec ma soeur un spectacle sur le conte de Cendrillon et la musique de Prokofiev. En 2018 elle rejoint l’équipe de Ceux qui errent ne se trompent pas de Kevin Keiss mis en scène par Maëlle Poésy. Dernièrement elle a retrouvé Le Munstrum Théâtre pour leur dernière création 40° sous zéro un dytique sur Copi, à La Filature à Mulhouse ou la Compagnie est artiste associé. Le spectacle sera en tournée à Mythos, Avignon puis au Monfort à Paris